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  • ... LES INSTRUMENTS DE TORTURE !

    J’en ai mal aux hémorroïdes… 80 traders de la City, grande place financière londonienne, viennent de faire bénir leurs téléphones portables et leurs ordinateurs…
    Alors, de deux choses l’une : soit ils croient intrinsèquement à leur boulot et à cette démarche, auquel cas je peux incontestablement les qualifier de « viande à abattre » et les jeter en pâture à un peuple vengeur. Soit il faut leur rappeler, à grands renforts de coups de pompes dans le cul et le pif, que ce n’est pas dieu qui a sauvé leurs fesses en or devenues vulgaires miches de bas étage, il y a un an et demi, mais bien le service public avec l’argent du populo !

    Dans tous les cas, je les conchie, ces connards. 

                                                                                                  DK

     


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  • Après Gérard Larcher, Brice Hortefeux, Xavier Bertrand, c'est au tour de Xavier Darcos de tenter de détourner les agents de l'Inspection du travail de leur mission (la protection des droits des travailleurs) pour les entraîner sur le terrain de la chasse aux sans papiers.
    Le 26 novembre 2009, Darcos a réuni la CNLTI (Comission Nationale de Lutte contre le Travail Illégal) pour fixer des objectifs précis. Ainsi, les procès-verbaux pour travail illégal, au nombre de 8764 en 2008 devront augmenter de 5% par an. Et naturellement, les agents de l'Inspection sont invités à collaborer avec les différents services de contrôle (police, gendarmerie, douanes...).
    "Je veux promouvoir la culture du résultat" a assuré l'ancien ministre de l'éducation nationale. Si ce genre de déclaration doit ravir son collègue Eric Besson, cette culture du résultat, dans ses exigences chiffrées, viole en réalité plusieurs dispositions de la convention n° 81 de l’OIT (Organisation Internationale du Travail) qui garantit l’indépendance de fonctionnement de l’Inspection du travail. 

    Il faut rappeler que le BIT (Bureau International du Travail), émanation de l'OIT a épinglé dans un rapport d'avril 2009 cette tentative d'instrumentalisation de l'Inspection du travail par le ministère de l'immigration et de l'identité nationale.

    Petit extrait savoureux :

    "Le fait que les inspecteurs soient embrigadés et dirigés par des fonctionnaires dépendant d’organes publics autres que leur autorité centrale, telle que définie par l’article 4 de la convention, pour la réalisation d’opérations conjointes dont le but est incompatible avec l’objectif de l’inspection du travail, constitue une transgression du principe d’indépendance inscrit dans la convention (article 6) et vide de son sens le droit de libre décision évoqué ci-dessus ainsi que le principe du traitement confidentiel de la source des plaintes (article 15 c)). Cela entraîne en outre une limitation importante des prérogatives des inspecteurs en matière d’initiative et de réalisation des contrôles dans les établissements (article 12, paragraphe 2 c) i) et ii)) et subordonne l’exécution des propres priorités de l’autorité centrale d’inspection du travail à celle des autorités de lutte contre l’immigration clandestine."

    Visiblement, la France n'a que faire du respect des conventions internationales. Les gauchistes genevois peuvent bien continuer de s'agiter...
                                                                                         
                                                                                           THS


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  • * La Cour des Comptes avait récemment pointé du doigt les dépenses engagées par l'Elysée pour effectuer des enquêtes d'opinion (3,28 millions en 2008), et avait notamment mis en cause Publifact, société de conseil dirigée par un proche de Nicolas Sarkozy, Patrick Buisson.


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