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  • Les journalistes, c'est un peu comme les vautours… (Heureusement, on ne se revendique pas de la profession…encore qu'on me dit souvent que j'ai une haleine de nécrophage).
    Et les assos et artistes qui se greffent à de grandes causes humanitaires, la grande majorité du temps, c'est un peu comme les mouches à merde…
    Je sais pas si vous me suivez, mais je voulais juste écrire quelques lignes sur le tremblement de terre à Haïti, ancienne colonie française devenue première démocratie noire en 1804… Et voilà ce que ça m'inspire…

    Il n'y a vraiment pas de quoi être fier…et d'être français, dans ces cas-là, encore moins… Je rappellerai, pour mémoire, les pubs de Leclerc, après le Tsunami en 2004: "Achetez Leclerc, c'est faire un geste". La pauvreté a toujours été et sera encore longtemps une denrée facilement exploitable.
    Penser aux haïtiens en donnant de l'argent, assis sagement sur son canap' devant un concert bien-pensant -surtout pour vos ganaches-, vous aide à vous donner bonne conscience? Moi, ça me fait plutôt vomir. Et les mots qui en ressortent n'y changent pas grand-chose.
    Après l'enchaînement de systèmes autoritaires, basés sur le néo-colonialisme, la pauvreté permanente et la dette que lui réclame toujours la France, c'est pour une catastrophe que tous se mobilisent, les yeux larmoyants en direction d'Haïti…avec un grand sourire laissant largement entrevoir les crocs… Voilà tout ce que ça m'inspire.

    Rien ne se perd si il y a du blé à se faire… Et en ce moment, la misère n'est pas chère…

                                                                                                  DK

     


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  • ...n'exclut pas le contrôle mon chéri !


    Moi, je serais vous, je me méfierais… des gens, en général… de mes proches… et de mes gosses, surtout ! Enfin, je dis ça… C’est vous qui voyez. En tous cas, de mon côté, je surveille Gègène de près… J’émets quelques soupçons quand aux différentes substances qu’il se met dans le cornet…

    Vous imaginez, vous, si c’était un drogué… Toutes ces époques passées, toutes ces scènes de virile et saine camaraderie, toutes ces espérances de foutage de merde intégral, et tous ces efforts communs pour y arriver… Plus rien n’aurait de sens. Je ne sais pas si vous pouvez imaginer dans quel terrible désarroi j’évolue, et dans quel état j’erre (Mouais…).

    Heureusement (et j’ajouterai même : Enfin !), pour éclaircir ces doutes qui n’ont que trop duré, le test de dépistage de drogues arrive chez vous, mes petits franchouillards ! Oui, dans votre chez vous- chez vous ! Il fonctionne très bien avec vos enfants, vos amis, vos parents, bref, tous ceux dont il faut se méfier ! Il marche avec un peu de pipi ou de la salive, et trouvera immédiatement sa place dans votre petit nid douillet, même si la déco est à chier ! Si, vous verrez… Et rappelez-vous de la règle d’or: Celui qui ne veut pas se plier au test est un coupable jusqu’à ce qu’on ait prouvé son innocence !

    J’adore cette ambiance glaciale et coquine… mais attendez voir…

    Maintenant que j’y pense, quand les éthylotests étaient sortis, il y a maintenant quelques bonnes années, j’en avais pris pour restreindre la consommation de Gègène par la peur de l’alcoolisme (c’est comme ça qu’on dit !)… et faut bien dire qu’on avait obtenu absolument aucun résultat, escompté, du moins. Plus personnellement, les messages sur les paquets de clopes m’ont toujours plus fait marrer qu’autre chose…et ne m’ont jamais empêché d’en acheter, en tous cas…

    Bah voilà ! Je commence à me questionner sur la réelle utilité de ses tests de dépistage de drogues, alors que c’est pas mon genre ! (Ô France, ton mal me ronge ; Ô France, qui, au premier coup de cravache, s’allonge !). Mais c’est vrai qu’à part pouvoir insulter son mioche ou sa femme de « sale drogué(e) » et lui dire « Je le savais ! Qu’est ce qu’ils vont penser, les voisins ?» -ce qui n’est tout de même pas rien-, je ne vois finalement pas tant d’intérêt que ça dans ces tests…

    Mais bon, j’en prendrai quand même, rien que pour Gègène ! Et si c’est une saleté de fumaillon, je te le balance dans la foulée aux autorités compétentes !

                                                                                                               DK


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  • Ki Ka Osé?

    1-      « Quiconque sacrifie sa liberté pour plus de sécurité, ne mérite ni l'une, ni l'autre, et n'aura aucune des deux.»

    2-      « Beaucoup de ceux qui vivent dans ces quartiers délabrés voteront pour Alduy. C'est un phénomène courant dans le Tiers-monde. Ils votent pour leurs maîtres. Les esclaves votent toujours pour l'esclavage. »

     3-      « Si c'est dur d'être aveugle? Ca pourrait être pire, je pourrais être noir.»

     4-      « La vérité est si obscurcie en ces temps où le mensonge est établi, qu'à moins d'aimer la vérité, on ne saurait la connaître. »

     5-      «  Les exilés afghans feraient mieux d'aller faire la guerre chez eux. »

     6-      « Je crois que je n'étais pas préparé à la guerre. »

     7-      « Vos dents doivent rayer le parquet. L'indulgence est comme la pitié: elle vous déshonore. (…) Ne soyez pas indulgents avec vos employés. Je préfère les assassins aux escrocs: Les escrocs, les gens les trouvent sympas. Les assassins, non, c'est sûr; Mais pourtant, ils ont un grand mérite; C'est de ne pas être hypocrites. »

     

    A-    Blaise Pascal.

    B-    Stevie Wonder.

    C-    Georges W. Bush en décembre 2008.

    D-    Benjamin Franklyn.

    E-     André Daguin, ex-patron des métiers et des industries de l'hôtellerie, à l'Université du MEDEF en 2004.

    F-     Frederic Lefebvre, Porte Parole UMP, en décembre 2009.

    G-     Georges Frêche, Président de la région Languedoc Roussillon, le 16/05/09.

     

    (Réponse du N°1: 1-C; 2-F; 3-A; 4-B; 5-G; 6-E; 7-D)

     


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  • François Fillon, premier ministre trop souvent effacé par l'hyper-médiatisation de son supérieur hiérarchique (mais que celui qui n'a jamais connu cette situation, me jette la première caillasse et que les plus jeunes demandent à leurs parents. D'ailleurs, est-ce que tu as leur approbation pour me lire, petit foutriquet?), ne manque pas pour autant de donner de sa personne dans le viol collectif et prémédité de notre Marianne- couche-toi-là nationale! (Qu'est ce que vous voulez, elle est en quête d'identité!). Et, c'est à ça qu'on reconnaît les vrais, il n'oublie jamais les copains, le Fränçou!

    En effet, son ostéopathe, Mr Hiriart, désormais, a, lui aussi, l'autorisation de prendre part à la tournante, et en a profité immédiatement en glissant un petit doigt chatouilleur… (Et comme dit Gègène: "Qui glisse un doigt, rentre tout droit!").
    Il vient tout juste de se faire offrir l'ordre national du mérite… Bah oui, par le François! Il lui a évité une opération en 2008 avec des massages… Alors, pensez-vous, dès qu'il a pu, il lui a renvoyé l'ascenseur… Normal, quoi, faut faire croquer les potes!
    Et d'ailleurs, la Marianne, une fois le forfait accompli, m'a confié (et à moi seul! J'ai mes entrées aussi): "Après la horde de banquiers, Hiriart, c'était un peu le tétard après le cachalot".

    Belle métaphore en ces temps d'aigreur qui nous empêchent de voir la poésie là où elle est.

     

                                                                                                                                   DK


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