• Quick défend les intérêts de la France


    J'en ai une bien bonne...et même si c'est pas vraiment une nouvelle de première fraicheur, vous plaignez pas, je vous la réchauffe à point!


    Saviez-vous, déjà, que la France était propriétaire de la chaîne de restauration Quick? En effet, la Caisse des Dépôts et Consignations, groupe public au service du développement économique du pays, en a fait l'acquisition, en 2006, pour 800 millions d'euros...alors qu'elle avait été évaluée -tout connement, si je puis me permettre...et je peux- à 300 millions à peine 2 ans plus tôt. 
    « Mais à qui ce rachat a-t'il bien pu profiter? » me dites vous, l'air hagard et le regard légèrement excité par la curiosité. C'est vite réfléchi, mes gaillards! L'ex-proprio belge, Albert Frère, est aussi un très bon ami de notre manager national, qui vient, d'ailleurs de lui décerner la Légion d'Honneur (Pourquoi est-ce que je mets des majuscules?).

    C'est là que je commence à réchauffer le tout... Jean-Marie Kuhn, un homme d'affaires français qui en veut à l'ogre belge -il l'aurait arnaqué quelques années auparavant-, découvre la surévaluation de l'accord et en fait part aux tribunaux français fin 2007...qui classent l'affaire sans suite environ un mois après. Ne manquant pas de niaque -ou de soif de vengeance-, il en réfère ensuite à la justice belge, qui, elle, va prendre l'affaire très au sérieux. Elle vient tout juste, en effet, -c'est croustillant, allez, je vous le sers!- de relancer l'instruction pour faux, usage de faux, présentation de faux bilans et infractions aux codes de la Société (mais pourquoi je mets des majuscules, bordel!? Sûrement un conditionnement en vue de la future identité nationale!)...

    La morale, encore que je ne l'apprécie pas vraiment*, c'est que les hamburgers seront toujours là..mais que repayer des trucs qu'on a déjà surpayés pour pouvoir les payer, j'appelle ça du masocapitalisme...et que, perso, je suis pas super consentant... McDo, KFC, Domino's Pizzas, maintenant Quick... Plutôt laisser une remontée acide sortir que les laisser me nourrir...

                                                                                                             DK

    * voir la 2eme rencontre des petites fables assassines.


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  • Des courriers de réclamation adressés par un salarié à des organismes chargés de la gestion des droits sociaux ne constituent pas des courriers personnels. L'employeur peut donc les lire à l'insu du salarié et les utiliser contre le salarié ! C'est ce qu'a décidé la Cour de cassation dans un arrêt du 15 décembre 2009.


    Un patron ne viole pas le secret des correspondances lorsqu'il ouvre des courriers électroniques d'un salarié qui n'ont pas de caractère personnel. Le patron peut alors licencier pour faute grave un de ses salariés après la découverte sur son ordinateur professionnel des courriers dénigrant l'entreprise auprès de tiers.
    La Cour de cassation précise que l'utilisation par l'employeur de courriers du salarié dans un fichier présumé professionnel est légale pour deux raisons :

    - les fichiers créés par le salarié dans le cadre de son travail sont présumés avoir un caractère professionnel

    - les correspondances adressées au président de la Chambre des notaires, à la caisse de retraite et de prévoyance, à l'URSSAF pour dénoncer le comportement de l'employeur (responsable d'une étude notariale) dans la gestion de l'étude ne revêtent pas un caractère privé et peuvent être retenues pour une procédure disciplinaire. 

    Le flicage informatique dans un cadre "professionnel" est donc tout à fait légitime pour la Cour de cassation. Voilà une bien bonne nouvelle pour les entreprises qui veulent virer certains indésirables à moindre coût...


                                                                                                                     THS


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  • SARKOZY SUR TF1: "La France n'a pas besoin d'assistés !!!"



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